de et par Philippe Cohen

du 25 mai au 4 juin 2016 > en tournée

mardi et vendredi à 20h30, mercredi, jeudi, samedi et dimanche à 19h

Le Cid improvisé, spectacle phare de Philippe Cohen, est joué par un seul homme avec une bonne dose de dérision. Philippe Cohen rend un hommage enlevé et drôle à Corneille. Tout à la fois concis et volontiers digressif, l’humoriste et comédien incarne tous les personnages avec une folle énergie, invente des bruitages et commente avec ironie la pièce du grand dramaturge français, tout en mettant le public à contribution. Un spectacle décalé, interactif et irrévérencieux! La nouveauté de ce spectacle est qu’il improvise… en alexandrins !

Après plus de 300 représentations en France, en Suisse, en Belgique et au Québec, Don Philippe Cohen dépoussière Le Cid, rit du Cid, mime Le Cid, en offre parfois une analyse abusive, et réussi le tour de force de ne jamais perdre ses héros : Chimène et Rodrigue. Un one man show surprenant.

EXTRAITS DE PRESSE

LIBERATION (Paris)
Il faut le dire son Cid est assez pétillant et même carrément gondolant. Tour à tour duègne, roi, sociologue, géographe, Rodrigue et Chimène, cet acteur à tout faire a un don du caméléonage bien sympathique!

LE DEVOIR (Montréal)
Une étourdissante performance de plus d’une heure trente qui laisse pantois, qu’on apprécie autant pour le rire que pour ses qualités intellectuelles.

TELERAMA (Paris)
C’est un spectacle à recommander à tous les étudiants, anciens et actuels, qui se sont coltinés les stances du Cid. C’est un spectacle qui réjouit aussi enseignants, exégètes et metteurs en scène des dilemmes cornéliens. Le Cid Improvisé devrait logiquement conduire Cohen à l’Académie Française, à la Direction du Théâtre, ou au Ministère de l’Education par le fou-rire, la méthode pédagogique éprouvée par ses soins et nos joies.

SCENES MAGAZINE (Genève)
Philippe Cohen accomplit un double prodige: donner une version digest (et compacte) de l’indigeste chef-d’oeuvre de Corneille; et rendre drôle et attachante une pièce qui brille moins par son humour que par l’esprit de chevalerie pète-sec qui l’anime.

L’ETUDIANT (Paris)
On s’en doutait, un français passé à l’ombre des banques du chocolat et des coucous, et adopté par eux, devait être foncièrement atteint; il l’est. Truculent, intelligent, burlesque et sans répit ; à consommer de toute urgence…